Une équipe qui s’entend bien est mieux équipée pour affronter le destin.

La pesteDes plumes et des os : chroniques des corneilles, tome 2, La peste
Par Clem Martini

Résumé en quatrième de couverture :

Un mystérieux fléau sévit dans la communauté des Kinaar. Déjà, des familles entières ont été fauchées. Plusieurs corneilles comme Kym, la fidèle amie de Kyp, ont disparu, capturées par des humains.
Déterminé à les retrouver, Kyp part à leur recherche. Mais une corneille seule est une proie facile. Et dans ce pays dévasté par la maladie, le danger rôde à tout instant.
Kyp aura-t-il la force d’affronter les épreuves qui l’attendent? Pourra-t-il se libérer des griffes de Kuper, un ancien allié assoifé de vengeance?
La peste, le deuxième tome de la trilogie Des plumes et des os : chroniques des corneilles. Une série passionnante où Kyp devra repousser ses limites et prouver qu’il est digne d’être l’Élu.

Mon appréciation :

On débute le récit avec en tête l’idée que c’est encore Kalum qui nous raconte l’histoire de Kyp, mais il se trouve que ça n’est pas le cas. Et on ne sait pas qui est la corneille qui se charge de la narration. Ainsi, on commence à lire et, plus tard, nous est dévoilée cette corneille. Kyp fait sa rencontre et se retrouve à voyager ensuite à ses côtés. Kata est celui qui nous narre les évènements.
Kyp, accompagné de Kata, va se mettre à la recherche de Kym, son amie. Aucun indice particulier sur la destination, seulement qu’il est question d’un nid humain (c’est ainsi que les corneilles surnomment les villes) où elle aurait été amenée. Sur son chemin, Kyp rencontrera un trio particulier de corneilles, qui l’accompagnera durant toute l’aventure, ainsi qu’une corneille au passé difficile, sans oublier une volée d’oisillons désorganisés qui ont survécu à la maladie qui court : la peste.
Une chose que j’ai bien appréciée durant ma lecture était de pouvoir me situer, à un certain moment. Parce que tout au long, les oiseaux volent, se posent, combattent, etc. Mais à un moment, on peut savoir dans quel pays ils se retrouvent, et même dans quelle ville. Ils longent la côte est vers le sud, avant de se retrouver en vue d’un immense nid humain, le plus gros qu’ils aient vu. Des bâtiments à perte de vue se dressent devant eux, tandis qu’ils sont à la recherche d’un arbre où se poser. Puis devant eux apparaît enfin des arbres. Une immense zone remplie de verdure, d’arbres. Où sommes-nous? À New York, plus précisément dans Central Park, à ce moment. J’ai donc bien aimé pouvoir visualiser l’endroit en sachant où il est, plutôt que de simplement m’imaginer un décor d’arbres, de villes quelconques, et tout ce qui va avec. J’aime bien me situer, particulièrement parce que je suis déjà allée à cet endroit.
Sinon, j’ai bien aimé le rassemblement improvisé qu’a occasionné chaque rencontre de corneilles pour Kyp. Durant son périple, Kyp a beaucoup évolué, et j’ai aimé remarquer ces différences qui le rendaient plus mature et réfléchi. Sans compter les légendes que les corneilles se racontent et qui égaillent le récit.

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