Résumé en quatrième de couverture :
Sous ses lunettes de myope, Ophélie cache des dons singuliers : elle peut lire le passé des objets et traverser les miroirs. Quand on la fiance à Thorn, du puissant clan des Dragons, la jeune fille doit quitter sa famille et le suivre à la Citacielle, capitale flottante du Pôle. À quelle fin a-t-elle été choisie? Sans le savoir, Ophélie devient le jouet d’un complot mortel.
Mon avis :
Cela faisait bien plusieurs années que j’avais un œil sur la série La Passe-miroir. Près de 6 ans, peut-être? Je travaillais dans une librairie, à ce moment, et je voyais les nouveaux tomes et les nouvelles éditions de la série passer sous mes yeux et entre mes mains. Pour Noël dernier, mon conjoint m’a offert le coffret regroupant les 4 volumes. Maintenant que je suis plongée dans cet intriguant univers, j’ai hâte de continuer!
J’ai trouvé que l’histoire prenait un certain temps à se mettre en place et que le gros de l’« action » tardait un peu à arriver. Néanmoins, même si j’ai eu le sentiment que c’était un peu plus long avant d’atteindre les meilleurs moments du récit, je ne me suis pas rendue compte d’à quel point je faisais rapidement défiler les pages sous mes yeux. J’ose alors affirmer que ce qui me semblait un point négatif ne m’a pas trop affectée dans ma lecture!
J’ai bien apprécié découvrir les liens qui unissaient ou non les différents personnages. Ce que j’ai particulièrement aimé était la façon dont les mystères et les secrets sont peu à peu dévoilés. Comme le personnage d’Ophélie, j’en apprenais davantage sur les réelles motivations des protagonistes que je rencontrais, et ce d’un dialogue à un autre.
J’aime bien la complexité de l’univers que l’autrice a créé. Les descriptions de chaque lieu, de l’environnement, de la météo, des caractéristiques physiques des citoyens et des sensations ressenties en traversant un endroit m’ont permis de découvrir un monde captivant et continuent d’attiser ma curiosité. Même si l’histoire se déroule à une période et dans des endroits fictifs, j’ai pu y constater un niveau de réalisme qui m’a fort plu. Les personnages vivent des émotions qui semblent vraies dans la manière dont elles sont décrites, et les blessures ne s’estompent pas dès la scène suivante. Je me suis prise au jeu et j’ai cru à ce monde si particulier le temps de ma lecture.
Le seul questionnement qu’il me reste, pour l’instant, concerne l’âge de l’héroïne. La quatrième de couverture parle d’une jeune fille, alors que le récit me laisse croire qu’elle a entre 16 et 25 ans, peut-être. Quelqu’un a la réponse? 😜
J’ai aussi apprécié la complexité de l’univers 🙂
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Oui! Il y a beaucoup à apprendre encore après avoir lu le premier tome!
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Je me pose la même question pour l’âge d’Ophélie !!
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L’information est plus précise dans les tomes qui suivent. Mais c’est vrai que ça déroute en attendant! 😆
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